La loi de refondation de l’École de la République dont est saisi le Parlement fixe pour objectif essentiel à l’institution scolaire l’amélioration des résultats des élèves, alors que plusieurs études nationales et internationales montrent un recul dans les performances des élèves français.
La circulaire du 6 février 2013 portant sur l’organisation du temps scolaire et des activités pédagogiques complémentaires se fonde sur les mêmes constats et se fixe le même objectif. Au niveau local, les différents partenaires doivent définir ensemble le détail de cette organisation et l’articulation entre temps scolaire et temps péri-scolaire. La tâche est particulièrement complexe dans la mesure où temps personnel, temps social et temps de travail sont intimement liés au temps scolaire.
Les documents qui suivent, présentés par Gérard Buiron, IEN, lors de la réunion des directeurs et directrices des écoles de la circonscription du 6 mars 2013 donnent une vue synthétique :
- des enjeux de la modification des rythmes ;
- des raisons qui rendent difficiles leur mise en œuvre ;
- d’une méthodologie efficace pour les mettre en place.
Les enjeux de la modification des rythmes
Pourquoi est-ce difficile de les mettre en œuvre ?
Définition d’une méthodologie
